Ce que veut Google avant tout, c’est offrir la meilleure expérience possible à ses utilisateurs. Par conséquent, vous vous devez de générer du contenu de qualité.

Premièrement, un contenu médiocre n’a jamais intéressé personne. Deuxièmement, votre site est la vitrine de votre travail.

Auriez-vous envie d’entrer dans une boutique à la devanture complètement défraîchie et désordonnée ? Et bien, vos potentiels prospects et Google non plus.

Un contenu de qualité, c’est un contenu original, unique. On évite le recopié, un site avec du contenu dupliqué finira de toute manière par être sanctionné. Si vous n’avez pas le temps, ni l’envie de vous en occuper, de nombreux rédacteurs web peuvent prendre le relais.

Vous devez apporter une réelle valeur ajoutée à vos lecteurs. Une réponse claire, simple et exhaustive à leur requête.

On évite les envolées lyriques, il existe des romanciers pour ça. On adopte un langage plutôt courant, mais pas familier. On fait des phrases courtes : la lecture doit être fluide et compréhensible pour le commun des mortels.

Évidemment, on ne laisse pas de faute d’orthographe et on respecte les règles de typographie aussi. En somme, on écrit français.

N’hésitez pas à être généreux en mots ! Plus vos articles seront longs, plus Google vous appréciera. Au minimum 500 mots, au mieux 1000 mots et plus. Cependant, on aère son texte.

La plupart des recherches Google sont effectuées sur les téléphones portables désormais. Un utilisateur qui voit s’afficher un gros pavé sur son petit écran, fait demi-tour. Quelques lignes par paragraphes suffisent.

Mais surtout, soyez régulier. Fournir et crée du contenu régulièrement est indispensable pour conserver sa visibilité. Pourquoi ? Parce que vous générez inévitablement plus de trafic. Ainsi, Google enregistrera que votre contenu est pertinent, intéressant, et il pourra être indexé. La mise en place d’une stratégie de contenu est donc primordiale.

La première chose que liront vos lecteurs, c’est le titre. Ça passe ou ça casse.

Alors bien évidemment, il doit avant tout refléter le sujet de votre article. Il doit également susciter l’intérêt et inciter au clic. Pour cela, on n’hésite pas à user du copywriting. Vous devez séduire votre interlocuteur.

Donnez-lui le sentiment que cet article a été pensé et écrit pour lui. Le lecteur n’a pas d’état d’âme : il navigue de lien en site et ne s’intéresse qu’à ses problématiques. Mettez-vous à sa place !

Un contenu de qualité est structuré. Et pour cela, il est impératif de se servir des balises HTML. Ce système de codage permet de réaliser la mise en page de votre contenu. C’est ce qui permet d’indiquer aux moteurs de recherche que vous avez bien fait votre travail.

La plus importante, c’est la balise H1. Autrement dit, le titre, la partie visible de l’iceberg dans le serp. Les balises suivantes – H2 à H6 – servent à définir les différents niveaux de titres. C’est-à-dire les différentes parties et sous-parties de votre contenu.

En revanche, on ne fait pas ça n’importe comment. On ne passe pas d’un H2 à un H4 par exemple.

La méta description, c’est ce petit texte qui apparaît sous notre titre dans le serp. Un petit topo de 240 caractères relatif à notre article.

Lorsqu’il n’est pas renseigné, Google affiche automatiquement les premières lignes de votre texte.

Ce n’est pas gênant en soi, mais notre but est d’être bien référencé. Alors on prend le temps encore une fois de rédiger un petit quelque chose, qui donne envie et on en profite pour y insérer quelques mots mots-clés.

On y pense peu souvent, mais l’URL est tout de même un élément indispensable de votre page. C’est ce qui vous identifie. On y trouve votre nom de domaine, l’extension du domaine et le chemin d’accès.

Plus il sera compliqué et plus il sera difficile à retrouver. Non seulement pour le lecteur, mais aussi pour Google.

Pour pouvoir vous indexer dans le serp, notre moteur de recherche a besoin d’identifier votre URL. Cependant, si vous possédez une adresse à rallonges ou trop compliqué, il ne va pas s’embêter.

Simplifiez-la. Utiliser un URL clair et précis, qui reprend votre nom de domaine et des mots-clés pertinents séparés par des tirets.

Exemple : www.nomdedomaine.fr/réferencement/rediger-article-seo

Nous voilà arrivés au point essentiel du SEO : les mots-clés. À consommer tout de même, avec modération. Et oui, il ne suffit pas de mettre des mots-clés à tout bout de champ pour apparaître en première position. Il faut s’y prendre intelligemment.

Premièrement, vous devez déterminer le mot-clé principal de votre article. Il existe de nombreux outils SEO qui permettent d’étudier les mots-clés et leur concurrence. En effet, avant de se lancer dans la rédaction d’un article optimisé, il vaut mieux vérifier au préalable son potentiel.

De la même manière, n’hésitez pas à utiliser des mots-clés dits longue traîne. Autrement dit, des requêtes plus longues et plus spécifiques. Par exemple : comment rédiger un article scientifique ? Bien que la “long tail” rail moins de trafic, elle est déclinable à l’infini. Ainsi, toutes les longues traines additionnées peuvent représenter jusqu’à 90 % de votre trafic organique.

Deuxièmement, réfléchissez à tous les termes faisant partie du champ lexical de votre requête clé. Finalement, tout ce qui peut se rapporter à ce domaine. Autant que vous voulez tant que cela reste cohérent.

Le but de ce travail en amont, est d’enrichir votre texte. Ainsi Google va pouvoir assimiler votre contenu et le positionner sur différentes requêtes en lien. Ce qui permet de générer encore plus de trafic.

Il y a tout de même des règles à respecter. Rappelez-vous, vous devez proposer un contenu de qualité. En d’autres termes, ces mots-clés doivent impérativement paraître naturels dans votre texte. Et non posés comme un cheveu sur la soupe.

Le mot-clé principal se positionne à des points stratégiques : le titre et l’intro, dans un des titres H2 et dilués dans le corps du texte. Pour le reste, on s’en tient à nos mots-clés secondaires. Sinon, votre contenu paraîtra indigeste et médiocre.

Les images attirent et captent l’attention du lecteur. On les choisit de qualité et libre de droits, bien évidemment.

Il faut savoir que les images sont importantes pour le référencement, elles doivent être correctement optimisées. Et pour cela, 5 petites actions sont nécessaires

Google ne sait pas lire une image. Il va donc falloir lui mâcher le travail et lui indiquer son contenu.

Pour ce faire, il suffit de renseigner cet attribut ALT indiqué sur tous les CMS. Il ne s’agit pas de faire un paragraphe, ni une suite de mots-clés. Simplement, décrivez votre image en quelques mots.

Par exemple, l’attribut ALT de cette image pourrait être : homme qui analyse son trafic avec google analytics.

Si cette manipulation peut paraître dérisoire, elle est très importante pour votre référencement et l’expérience utilisateur. Premièrement, cela permet aux moteurs de recherche de référencer vos images dans Google images. Par conséquent, d’optimiser encore plus votre trafic via différents canaux.

Deuxièmement, si pour une quelconque raison l’image ne s’affichait pas sur votre site, le texte ALT deviendra visible pour le lecteur. Qui plus est, il permet d’indiquer oralement aux utilisateurs malvoyants le contenu de celle-ci.

À la différence de l’attribut ALT, l’attribut titre n’est pas pris en compte pour le SEO. Il permet simplement d’afficher le texte lorsque l’on passe notre souris sur l’image.

Si vous avez l’habitude de télécharger vos images et de les intégrer tels quels dans vos articles : grossière erreur. Renommez toujours vos illustrations.

Le nom de vos images doit être court et comporter des mots-clés séparés par des tirets. Attention, pas de caractères spéciaux, ni de majuscules, ni de “_”.

Nous savons tous ce qu’est une légende d’image, je présume. Il s’agit d’une courte description de l’image, qui permet à Google de la contextualiser. Faites attention cependant à ce qu’elle soit différente de l’attribut ALT.

Le temps de chargement d’une page influe sur son référencement. Une image trop lourde, qui peine à charger risquerait de saboter tous vos efforts précédents. Préférez une illustration qui ne dépasse pas les 200 ko.

Le netlinking de votre site est primordial pour votre bon référencement. Google analyse la navigation de votre site et apprécie les liens pertinents.

Outre pour l’optimisation SEO, le maillage interne vous permet de diriger vos lecteurs vers d’autres contenus moins visibles, susceptible de les intéresser. Ainsi, on évite un taux de rebond trop élevé et on maximise ses chances de convertir ses utilisateurs.

De son côté, Google estime que la complémentarité de vos contenus est un gage de qualité et vous positionne en conséquence.

Cependant, le maillage interne de votre site doit rester cohérent. Il ne suffit pas d’intégrer des liens, pour intégrer des liens.

La navigation doit être fluide et surtout logique. Ainsi, vos liens hypertextes doivent renvoyer à des thématiques communes ou complémentaires.

Si vous souhaitez renforcer la puissance de votre SEO, vous pouvez placer un lien au-dessus de la ligne de flottaison de votre site. C’est-à-dire la seule partie visible de votre site sans besoin de scroller.

Le mot ou groupe de mots sur lequel est appliqué votre lien doit aussi être cohérent avec la page de destination. Ils peuvent contenir des mots-clés s’ils sont pertinents.

Évitez les généralités comme : “cliquez ici”, “plus d’informations ici”. Si toutes vos ancres sont appliquées aux mêmes expressions, elles perdent de leur pertinence et ne sont plus naturelles.

Ne passez pas du côté obscur de la force, ne sur-optimisez par vos contenus et en l’occurrence vos liens externes. Ils servent avant tout à apporter de la valeur à vos lecteurs. Ils leur permettent d’approfondir leurs recherches.

Préférez ne pas intégrer de liens, si aucun de vos contenus n’est réellement complémentaire à celui-ci. Vous risqueriez d’être pénalisé.

Les liens externes sont les liens qui mènent vers un autre site. Il est donc important pour votre référencement de pouvoir obtenir des backlinks d’autres sites. Google estimera alors que vous proposez du contenu de qualité.

Cependant, encore une fois ces backlinks doivent provenir de sites ayant une certaine autorité. Ou en tout cas un site de qualité.

Vous l’aurez compris, je pense, l’expérience utilisateur et au cœur du travail de Google. Vous devez sans cesse penser à vos lecteurs. De cette manière, vous êtes sûr à 100 % de plaire “indirectement” à Google et ainsi être correctement positionné.

En revanche, il se peut parfois que vous ayez respecté toutes les règles unes à unes et que pourtant votre référencement ”baisse”… La première chose à vérifier, c’est le temps de chargement de votre site.

Nous vivons à cent à l’heure et si je me rends sur un site qui ne s’affiche pas en quelques secondes, je fais demi-tour. Vos lecteurs n’ont pas de temps à perdre. Alors quand bien même votre page est au top du top en matière de SEO, si elle ne s’affiche pas rapidement, c’est perdu.

De temps à autre, vérifiez que certains de vos liens ne soient pas morts. Si vous avez trop de page “Error 404”, Google ne vous fera pas de cadeaux.

Dans le cas où vous souhaiteriez améliorer votre référencement, vous pouvez faire appel à un consultant pour un audit SEO. Celui-ci pourra analyser votre site dans sa globalité et vous donnez différents axes d’améliorations. C’est la mission de Motiweb.

Le SEO n’est pas quelque chose de fixe, il est important de le comprendre. L’algorithme de Google évolue en permanence : ce qui fonctionne aujourd’hui, ne fonctionnera peut-être plus demain. Alors gardez bien l’œil ouvert et restez en veille ! Selon vous, votre site est-il bien optimisé ?

Rédigé par Samantha Martins – Son profil LinkedIn